Note de lecture:
"Un courtisan est semblable à ces plantes faites pour ramper, qui s'attachent à tout ce qu'elles trouvent" Montesquieu.
C'est ce que je ne serai jamais grâce à l'héroisme combat de dignité mené par mes ancêtres et ce, de tous les temps. Je me réjouis donc de voir, qu'avec certes un peu de retard, mes parents tchabè l'ait finalement compris.
Pas mal comme idée mais aucune avancée concernant les pôles de développement de notre chère Région. On continue de privilégier le positionnement des Hommes au détriment des vraies initiatives privées qui sont la source de la création des richesses et de l'industrialisation de la zone.
Qu'on ne s'y méprenne. Boni Yayi ne se réclame pas de la culture tchabè. Seuls les naïfs tchabè le considère comme un des leurs, à tort plus qu'à raison. Pour une raison que nul ne saurait contesté, Boni Yayi se réclame de la culture bariba même si sa mère émarge à la culture peule (foulbé plus précisément) jadis esclave des baribas dont ils sont toujours les gardiens de troupeaux !!!
Très compléxé par sa sous-culture, le roi Boni 1er voue une admiration sans borne aux baribas, surtout ceux de Bembèrèkè, même si sa maman est originaire de la petite bourgade de Inan à quelques enclabures de Bembèrèkè. Les gens de cette bourgarde constituent le premier cercle du pouvoir de Boni Yayi. on peut citer le ministre de la défense, le DC militaire, le ministre de l'eau et de l'énergie, le chargé de mission du Premier ministre (pour mieux le surveiller), etc.
Le second cercle du roi Boni 1er, toujours à cause de sa sous-culture, est composé de sa belle famille et, par ricochet, des descendants esclavagistes de Ouidah. Même si le couple bat de l'aile à cause de la volatilité du roi Boni 1er, ce dernier souffre du complexe d'infériorité marqué avec les esclavagistes comme du reste avec l'ancien colon qu'il vénère à nulle autre pareille. C'est dans ce registre qu'il faut inscrire la présence de trois ministres ouidaniens dans son dernier gouvernement: Koukpaki, de Souza (le beauf...) et Marie-Elise Gbèdo.
La chose est donc désormais entendue. Que mes amis tchabè arrêtent de verser des larmes de crocodile et s'arment pour livrer le vrai combat, le seul qui vaille. Celui du développement de notre région. Pour ce faire, il faut désormais conjuguer le verbe Boni Yayi au passé.
Pour tout ce qui précède, l'idée proposée est novatrice, sous deux réserves:
1) Pourquoi associer les anciens cadres alors qu'ils ont tous échoué ? Une béquille ne saurait compenser un membre défectueux.
2) Absence d'innovation en matière d'accompagnement des opérateurs économiques et de création d'emplois dans le secteur agro-industriel et celui du tertiaire.
C'est, sincèrement, ce que je crois !!!
Benoît ILLASSA
31 juillet 2011
BENIN: Deçus et abandonnés par Boni Yayi, leur père putatif, les tchabè organisent la riposte
FORUM DES FORCES VIVES DE L’AIRE CULTURELLE TCHABÈ: TCHABEBENIN
TERMES DE REFERENCE
RAPPEL HISTORIQUE
Malgré les nombreuses potentialités du pays tchabè, le constat fait n’est pas assez reluisant depuis l’arrivée au pouvoir du Dr YAYI Boni. Le Peuple Tchabè dans son entièreté est un peuple fortement politique et politisé qui a toujours pensé que le politique est la solution de tous ses problèmes de développement. Et de ce fait, il a toujours fondé tout son espoir sur le politique. En effet après les 05 premières années, la désillusion a gagné les rangs des populations. Le bilan fait de la 1ère mandature a été: l’alimentation de la ville de Savè en eau potable, le raccordement de certaines localités de Papanè à Ouèssè en passant par Ikèmon, Idouya, Attata, Toui et Kilibo, la nomination de certains cadres aux postes de ministres, d’ambassadeurs, de directeurs de cabinets, de SG de ministères, de directeurs centraux, de Conseillers ou cadres à la présidence de la République. L’espoir nourri par l’arrivée au pouvoir de YAYI Boni n’a pas été satisfaisant aux yeux des populations. Le choc a été encore plus grand lors de la confection de la 1ère équipe gouvernementale De YAYI Boni II marquée par l’absence d’un tchabè au sein du gouvernement. Ce fut la 2ème fois dans l’histoire du Bénin qu’un tchabè était absent au sein de l’équipe gouvernementale. Cet état de chose a fait prendre conscience aux forces vives du pays qui ont décidé de se lever pour prendre en mains leur destin commun.
Le Royaume Tchabè est cité parmi les sept (07) royaumes YORUBA fondés par les fils d’ODUDUWA que sont: Ifè, Oyo, Abèokuta, Ilorin et Ibadan (au Nigéria), Kétu et Tchabè (au Bénin). Dans les prestigieux royaumes cités dans l’histoire du Bénin figure le Royaume Tchabè qui fut un royaume riche et important… L’OBA était un roi divin, puissant… Son autorité était respectée dans son royaume et bien au-delà. Il est indéniable que la présence du royaume Tchabè joua un rôle de tout premier plan pour assurer l’équilibre entre les diverses populations de l’hinterland béninois» (MONSERAT, 1992).
D’après le Révérend Père MOULERO, ce royaume couvrait le Sud-Est du Bénin et s’étendait au Nord jusqu’à Tchaourou, au Sud-Ouest jusqu’à sa frontière naturelle Ofè ou Ouémé, à l’Est au-delà de l’Okpara jusqu’à Iwoyé et à l’Ouest jusqu’à la rivière Oyan. Et plus simplement les limites du Pays Tchabè sont les suivantes :
- Est, rivière Oyan;
- Sud, Village d’Iwoyé;
- Nord, Localité de Guinirou au Nord de Tchaourou. (IGUE John, 2005)
La balkanisation et les nombreux découpages administratifs ont conduit à des morcellements territoriaux inadaptés et à des émiettements de l’identité. La pénétration des nouvelles religions a contribué à affaiblir le contrôle social traditionnel et ses prospectives. Il en est de même des guerres et autres crises économiques qui ont contribué à l’installation d’autres communautés sociolinguistiques avec pour conséquences la monétarisation du milieu social et l’agression effrénée du patrimoine foncier.
Le pays tchabè regroupant l’ensemble des localités de l’ancien royaume tchabè est jadis caractérisé par:
- la richesse de ses terres cultivables qui s’étendent à perte de vue ce qui fait de cette région une zone de colonisation agricole par les peuples idaasha, du Plateau d’Abomey, de l’Atacora, de la Donga et de plus en plus des départements du Mono et du Couffo;
- la majeure partie de la zone est bien arrosée avec des hauteurs moyennes de pluie avoisinant les …. Mm (connaît deux saisons de pluie) et est traversée par de nombreux cours d’eau et leurs affluents;
- ses plantations et sa manufacture de tabac de grande qualité;
- la grande renommée de ses villages de grande tradition de soins traditionnels de qualité;
- l’escale pour se restaurer lors du voyage à train,
- son commerce et sa manufacture florissants depuis l’époque coloniale avec les sociétés telles que la CAITA, l’IRAT et les comptoirs commerciaux que furent: CFAO; JOHN-HOLT; BATA; SCOA… jusqu’aux années 80 avec le boom pétrolier au Nigéria: exportation des denrées alimentaires et importation des produits manufacturés et pétroliers;
- la production des fruits et légumes: ananas, banane, fruits de rônier, coco, etc….
- grande zone de production de culture d’exportation avec la culture du kénaf, du ricin, du tabac, l’anacarde;
- sa réputation de production du manioc de grande qualité;
- les nombreux sites touristiques allant des mamelles de Savè à l’interminable chaîne de Babaguidai de Kaboua en passant par les lieux mythiques de Fiditi, des cavernes de Ota; Ori amon, etc.
- la grande qualité de ses intellectuels en grand nombre;
- la prépondérance de ses hommes politiques sur le plan national et leur rôle avant-gardiste dans la lutte des indépendances et des différents faits ayant marqué qui se sont traduits par la présence des Tchabès dans les gouvernements successifs depuis la nuit des temps;
- le caractère hospitalier du Tchabè au point d’abriter certains grands événements de l’histoire entre le nord et le sud du Bénin.
Contexte et justification
Aujourd’hui, la situation est marquée par un déclin du pays tchabè aggravé par l’intensité des clivages socio-politiques durant et après les élections et qui se prolongent par des rivalités entre les hommes politiques, ce qui se déteint sur la vie au quotidien: la division au sein de la chefferie traditionnelle, les impacts sur la gestion communale, l’affectation des cadres et natifs du milieu, les antagonistes entre des quartiers d’une même ville ou village, et entre les comités de gestion des affaires locales, etc.
Sur le plan de l’organisation de la société civile, on distingue de nombreuses organisations à savoir:
- les associations de développement de chacun des villages administratifs du pays tchabè;
- une seule association de développement à l’échelle communale dont les structures dirigeantes n’ont plus été renouvelées;
- les cercles de réflexion Imonlè, CRI, IRE, IRETI MBE, DAIBI, etc., qui ont tous pour souci le développement du pays tchabè.
A l’image du pays tout entier, l’économie locale suit une tendance régressive. Savè, la principale cité ne dispose pas encore de boulangerie, ni d’une chaîne de froid stable. L’Internet relève encore du miracle. La société sucrière a repris ses activités non sans grande difficulté et est le lieu de prolongement des antagonismes politiques au point de compromettre dangereusement l’avenir de cette unité de production. Les rares exploitations agricoles dignes du nom sont aux mains des «étrangers» et la plupart des champs encore cultivés sont des héritages des parents et sont difficilement entretenus. On note l’existence d’une diaspora variée et riche qui a des difficultés à contribuer au développement de la ville.
Sur le plan culturel, la Région ne manque pas d’atouts naturels et regorge de cadres et d’intellectuels de tous niveaux. Elle a un fort taux de scolarisation comparé à beaucoup d’autres régions du Bénin. Néanmoins, on peine à valoriser ses atouts culturels et touristiques sur l’échiquier national. L’administration locale manque de compétences capables de formuler des projets ambitieux pour les populations.
Cependant, le pays dispose de nombreux atouts: les initiatives culturelles de la chefferie traditionnelle et de DAÏBI, le paysage pittoresque, la diaspora intellectuelle et économique, la position de carrefour régional, le climat favorable aux activités agricoles, de nombreux cadres et hommes politiques nommés à des postes stratégiques; etc. et l’avènement au pouvoir d’un tchabè depuis 2006 sont autant d’atouts et opportunités à saisir pour asseoir le développement du pays Tchabè. L’initiative d’un forum avait été prise par certaines associations (Imonlè, Daibi et CRI) pour mettre en place un creuset de rencontres, d’échanges et de partage d’idées pour un mouvement unitaire fort aux fins d’un rayonnement national, de l’épanouissement de ses fils et de la promotion du développement du pays Tchabè. Cette initiative née depuis 2007 n’a pu être concrétisée pour diverses raisons. De nombreuses initiatives de développement ont sombré ou se sont éteintes faute d’organisation et de suivi. On peut citer :
- le projet de construction de l'hôpital AHMADIYYA de Savè
- la ferme d'élevage dans l'arrondissement de Béssé
- l'usine de fabrique de concentré de tomates et de fruits sur la route Savè-Gobé
- la maison internationale de Guèlèdè non fonctionnel à ce jour,
- le magasin régional de la SOBEBRA délocalisé à Dassa
- le village SOS qui s’est retrouvé finalement dans une autre commune,
- le relais administratif presque à l’abandon
- un projet de construction de boulangerie pâtisserie abandonné,
- les locaux de l’ex CARDER qui ont été rénovés pour abriter un musée qui n’a jamais été ouvert,
- un camp militaire envisagé aux environs de Kilibo,
- un projet d’école maternelle de haut standing étouffé dans l'œuf après les importants investissements faits par les promoteurs,
- les routes Savè-Oké Owo et Savè-Kétou qui sont comme devenues des litanies que nous récitons de génération en génération,
- la construction des locaux de Radio Idadu
- les événements culturels DAIBI, FESTASA, TCHABEOLA qui sont devenus des faits de l'histoire révolue,
- l'école régionale des sapeurs pompiers dont les travaux sont au statu quo
- la base d'appui aux artisans qui n’a d'existence que la clôture
- la rénovation du palais royal de Savè
- etc.
Ainsi toutes les autres formes d’organisations culturelles et socioéconomiques n’ont pu conduire à son émergence. Aujourd’hui plus qu’hier, le besoin d’un cadre de mise en commun des forces et atouts, de recherche de solutions aux problèmes de développement se fait sentir. Le Forum des Forces Vives de l’Aire Culturelle Tchabè dénommé «TCHABEBENIN» est le creuset envisagé pour réfléchir sur les modalités d’organisations à mettre en place pour relever ces défis et en vue de mieux positionner l’aire culturelle tchabè sur l’échiquier national. Il se veut un creuset de rencontres, d’échanges et de manifestations du Peuple Tchabè. Il est aussi notre mode d’organisation en vue d’amorcer résolument le développement de la zone, la promotion et la formation des fils tchabè et la promotion de sa culture.
LES OBJECTIFS DU FORUM
L’objectif principal de ce forum est d’offrir un cadre de discussion entre toutes les forces vives du pays tchabè afin de réfléchir sur l’avenir de la région. A cet effet plusieurs objectifs spécifiques ont été identifiés:
- définir une vision claire et partagée du devenir du pays tchabè;
- identifier les projets de développement les plus importants et structurants du pays tchabè pour les 5 années à venir;
- analyser les voies et moyens pour la concrétisation desdits projets;
- retenir la ou les formes d’organisation indispensables pour assurer le lobbying et le plaidoyer pour le développement du pays tchabè en général et pour la concrétisation des projets retenus,
- définir les modalités pratiques d’organisation d’une fête fédératrice annuelle culturelle du pays tchabè;
- jeter les bases de l’institutionnalisation de distinctions honorifiques des personnes ayant œuvré par leurs actions à l’essor du pays tchabè;
- élaborer une feuille de route des activités à mener et des initiatives retenues
resultats attendus
Au terme de ce forum, il est à espérer que:
- une vision claire et partagée du devenir du pays tchabè sera arrêtée
- les projets phares autour duquel se fondera le développement durable du pays tchabè et pour lesquels l’ensemble des forces organisées (les communes, les hommes politiques, les organisations de la société civile, la chefferie traditionnelle, les cadres nommés, etc…) travailleront désormais sont retenus;
- les stratégies à mettre en oeuvre pour l’émergence du pays tchabè sont élaborées et des pistes d’actions sont proposées;
- les modalités de mise en œuvre et de suivi des idées de projets ou d’initiatives proposées sur le forum Tchabebenin sont précisées;
- les modalités d’organisation d’une fête annuelle acceptées de tous les acteurs sont définies;
- un comité rédaction d’un projet d’institutionnalisation d’une distinction honorifique des tchabé et autres personnalités ayant œuvré à l’émergence du pays tchabè mis en place avec une feuille de route très claire;
- un comité chargé de proposer un plan de déploiement/formation des compétences dont ont besoins les administrations locales pour concourir à la réalisation des projets retenus est installé et de même que les propositions de postes de responsabilités dans les administrations publiques nécessaires à la réalisation des projets a été installé;
- un comité est mis en place pour la concrétisation et le suivi des recommandations et résolutions du forum;
- Des réflexions sont menées pour le renouvellement des organes de gestion des associations dont le mandat est arrivé à terme pour une nouvelle dynamique de développement: associations de développement, comité de gestion, etc.
DATE ET LIEU DE DEROULEMENT
Le forum TCHABEBENIN est prévu pour se tenir les 27 et 28 août 2011 au centre des jeunes et de loisirs de Savè ou au centre de promotion de l’artisanat à Cotonou.
DEROULEMENT DU FORUM
Le forum des forces vives du pays tchabè est prévu pour se dérouler sur deux jours et rassemblera l’ensemble des structures organisées de la région:
- Les associations de développement de la zone: ADDS de Savè, IFEDAKPO de Kaboua, IREKPO de Kilibo, ILUDEBI de Ikèmon, de Diho
- Les autres organisations de la société civile: Imonlè, CRI, DAIBI, IRETI MBE, IRE,
- La chefferie traditionnelle
- Les députés CHABI SIKA Karimou, OKOUNLOLA André et ZACHARIE CHABI Félicien
- Les anciens ministres et députés du pays tchabè: IGUE John, LADIKPO Rigobert, AZARIA Fakorede, ATCHADE Madeleine, OBA CHABI Denis, AMADOU Taiwo,
- Les hauts cadres et personnalités: ADAM Sikirou, YAI Joseph, LALEYE Mouftaou, BIAOU Gauthier, DOSSOUMOU Eugène, ELEGBE Amos,
- Les maires des Communes de Savè, de Ouèssè et de Tchaourou
- Les chefs des arrondissements du pays tchabè
- Les directeurs de cabinets et hauts fonctionnaires nommés de l’administration publiques
- Les associations d’étudiants et d’élèves
- Les fonctionnaires des coopérations techniques et chefs d’entreprise
- La diaspora
- Tout cadre ou toute autre personne intéressée qui manifeste le désir d’y participer auprès du comité pour permettre d’estimer le nombre réel de participant afin d’une bonne organisation
Horaires | Activités | Responsables | |
JOUR 1 | |||
08H00 – 10H00 | Accueil et mise en place des participants | Comité d’organisation | |
10H00 – 10H15 | Mot de bienvenue et programme du jour | Comité d’organisation | |
10H15 - 10H25 | Animation folklorique | Groupe flklorique | |
10H25 – 10H40 | Allocutions d’ouverture | Président du comité d’organisation Porte parole des Maires Porte Paroles des députés Parrain de l’événement | |
10H40 – 10H50 | Mise en place du Présidium | Participants | |
10H50 – 11H30 | COMMUNICATION N°1: Contraintes et facteursde réussite et d’institutionnalisation d’une fête culturelle : cas de la fête annuelle Nonvitcha ou du 15 août à Savalou | Personne ressource | |
11H30 - 13H00 | Débats | Modérateur | |
13H00 – 14H30 | Pause Déjeuner (art culinaire Tchabè) | Comité d’organisation | |
14H30 – 15H15 | COMMUNICATION N° 2 : Le programme d’actions du gouvernement, les décisions de création de services publics et les PDC des communes du pays tchabè : liens et retombées/impacts directs ou indirects pour le pays tchabè | Personne ressource | |
15H15 -16H15 | Débats | Modérateur | |
16H15 - 16H30 | Mise en place des groupes de travail | Présidium | |
16H30 - 18H30 | Travaux de groupe | Présidents des groupes | |
18H30 - 20H00 | Restitution des travaux en plénière | Présidium | |
21H00 à l’aube | Manifestations culturelles : défilé de mode traditionnel, guèlèdè | Comité d’organisation | |
JOUR 2 | |||
08H30 – 09H30 | Restitution des travaux de groupe (fin) et débat général | Présidium | |
09H30 – 10H00 | Pause café | Comité d’organisation | |
10H00 - 11H00 | Présentation des conclusions du forum | Rapporteur du présidium | |
11H00 - 12H00 | Installation des différents comités de suivi (comité de suivi des recommandations, comité de réflexion des différentes stratégies et activités retenues) | Présidium | |
12H00 – 13H00 | Mots de clôture | Un aîné Un jeune Un député | |
13H00 – 14H00 | Pause déjeuné | Comité d’organisation | |
Nuit | Manifestations culturelles | Comité d’organisation |
Les ateliers prévus sont :
- Atelier N° 1 : Institutionnalisation du forum
- Pérennisation du forum qui se veut annuel
- Structures à mettre en place pour la mise en œuvre des actions retenues et le suivi des recommandations, leur attribution, leur fonctionnement : cellule de veille stratégique et politique, cellule de suivi de la mise en œuvre des projets initiés, groupes de pression par secteur, mise en œuvre des idées de projets du forum virtuels ; etc ;
- Mécanisme de suivi des conclusions du forum
- Atelier N° 2: Redéploiement/Formation et promotion des tchabè
- Répertorier les secteurs dans lesquels on a besoin d’avoir des cadres tchabè afin de faire des propositions pour leur formation technique et professionnelle;
- Identifier des postes clés de nomination: services; directions, agences, ambassades, conseillers, etc; au regard de la vision arrêtée et des projets à mettre en œuvre dans le pays tchabè;
- réfléchir sur les possibilités et opportunités de formation des hauts fonctionnaires et explorer les pistes pour l’obtention de bourses d’études;
- Identifier les secteurs de faible présence des tchabè et utiles à la mise en œuvre de la vison retenue
- Etablir un catalogue des opérateurs économiques à promouvoir
- Elaborer une stratégie et proposer des actions pour promouvoir les hommes en pays tchabè
- Atelier N° 3: Vision partagée de développement et projets prioritaires pour les 5 années à venir
- Définir une vision partagée de développement
- Comment suivre l’évolution de la situation politique nationale pour un positionnement favorable au pays tchabè pour l’après 2016?
- Identifier les projets prioritaires et structurants qui serviront de base pour le décollage et ce, dans les 05 années à venir et les modalités de leur réalisation
- Réfléchir sur la mise en place d’un lobbying et les stratégies de plaidoyer auprès de potentiels partenaires (nationaux et internationaux) pour le développement du pays tchabè
- Inventorier les compétences dont ont besoin les administrations locales pour accompagner la mise en œuvre des PDC et les projets structurants retenus et les voies et moyens pour doter ces administrations de ces compétences
- Atelier N° 4: Fête annuelle, décoration et valorisation des initiatives du monde virtuel
- réfléchir sur la mise en place d’un comité chargé de proposer un plan d’institutionnalisation d’un grand rassemblement artistique et culturelle annuelle et proposer un terme de référence pour les travaux du comité. Ce comité pourra entre autre se charger de proposer les modalités d’organisation et de réussite d’un grand rassemblement artistique et culturelle annuelle
- Jeter les bases de l’institutionnalisation des décorations du pays tchabè et proposer à la plénière un comité chargé de réfléchir et proposer : noms des trophées, les textes fondamentaux portant sur composition, attribution et fonctionnement de la structure en charge de ce dossier,
- Valorisation des initiatives ou idées de projet du monde virtuel
Camille YABI
Source: Tchabebenin@yahoogroupes.com
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