HOMMAGE DU DOYEN O.B-Q. A NELSON MANDELA
Garrigues-Sainte-Eulalie, 07/12/13
Par Olympe BHËLY-QUENUM
L’homme est parti ; ses photographies en mouvement que la télévision
déverse sur le monde séduisent malgré la tristesse qu’on éprouve ;
icône universelle, Nelson Mandela l’était et le demeurera parce que sa
personnalité et son action l’auront sacré icône universelle ; bien
qu’on s’y attende, il a pris congé du monde au moment où, conviés à
l’Elysée par le gouvernement français, nombre de chefs d’Etat et de
gouvernement africains y discutent de la paix et de la sécurité en
Afrique ; qui ne verrait une singularité dans ce voyage sans retour ?
Dans tel et tel pays de ce continent, les mystagogues sondeurs de
l’Afrique des profondeurs diraient : « Madiba les savait tous faux,
versatiles, corrompus, pourris ; de là-bas il observe comment ils vont
s’en tirer avec leurs faits du prince et le sang qu’ils ont sur les
mains.»
O.B-Q