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15/12/2015

BENIN : AboubaKar TAKOU, un racketteur à part entière ou entièrement à part ???

Par Benoît ILLASSA

Sous le titre racoleur :

« Présidentielle et ennuis judiciaires

ÇA SENT TROP MAUVAIS POUR TALON

(La justice Helvétique réclame sa peau dans l'affaire Pvi -Ng pour Sgs ) »,

Le pseudo journaliste s’en prend vertement à Patrice TALON dans un article inventé de toutes pièces. Il n’est pas à son premier coup d’essai car l’homme ne vit que du rançonnement des Hommes d’Affaires et des Hommes politiques béninois.

L’article, commandité de toute évidence par la Présidence de la République (Hier, sur l’ORTB, on a vu Boni YAYI s’en prendre vertement à Patrice TALON sans le nommer) a été largement diffusé aujourd’hui sur les réseaux sociaux. Or, il s’agit ni plus, ni moins, que d’un montage grossier et cynique. Je ne reprends pas la publication ordurière ici mais voici mon commentaire :

« Benoît Illassa Foutaises tout simplement !!! Genève n'est pas à 12 000 Km de Cotonou mais plutôt à 6000 Km !!!

Un bon journaliste aurait pris un billet d'avion pour se rendre en Suisse et vérifier l'information auprès du parquet !!!

Mais nous sommes au BENIN où la paresse intellectuelle conduit à des élucubrations à peu de f
rais !!! »

A la suite de cette réponse, le sieur TAKOU m’a envoyé plusieurs messages inbox pour essayer de me corrompre comme il en a l’habitude. Ayant refusé tout compromis avec lui, il est devenu fou furieux en me lançant des noms d’oiseau.

Comme le bougre le reconnait lui-même, c’est moi qui lui ai venu en aide en saisissant Reporters Sans Frontières lorsqu’il a dû fuir Cotonou pour Lomé, habillé en femme !!!

Comme le dit un proverbe bien de chez moi, « celui qui a chié oublie vite ; mais celui qui a ramassé la merde, jamais ». Si YAYI a fermé son canard, c’est parce qu’il lui a donné beaucoup d’argent. A la naissance de sa première fille, YAYI lui a donné trois millions de FCFA. A la naissance de la seconde, quatre millions de FCFA. Et tous les mois, comme tous les journaux qui ont signé un contrat avec le pouvoir, il va retirer tous les mois la somme de deux millions de FCFA auprès du Secrétaire Général du Gouvernement !!!

Enfin, afin que chacun puisse faire sa propre opinion sur le faussaire TAKOU, voici un article édifiant qui démonte ses méthodes de gayman.

IB

28/12/2011

Un journal à part entière, ou entièrement à part ?

En un peu plus de cinq ans d’existence, le Béninois Libéré a fait des titres ronflants et grossiers sa marque de fabrique, allant parfois en marge de quelques principes déontologiques. Voici à ce propos deux titres illustratifs : « La BOA violée sans préservatif, réagit vivement » et « Fagbohoun va chier les milliards volés ». Le premier titre fait allusion à la Banque of Africa (Boa), qui est implantée dans plusieurs pays africains. Quant au second, il indexe Séfou Fagbohoun, député à l’Assemblée, au sujet du rachat par celui-ci à la fin des années 90, de la Société nationale de commercialisation des produits pétroliers (Sonacop). Plusieurs de ses articles lui ont d’ailleurs valu par le passé d’avoir été condamné par les tribunaux, la Haac et l’Observatoire de déontologie et d’éthique dans les médias (Odem). Ce dernier est le tribunal des pairs, mais ses sanctions sont symboliques.

Avec un marché publicitaire exigu et centré sur Cotonou, la capitale économique du pays, les journaux béninois se font une guerre de tous les instants. Car la publicité est de loin leur première source de financement. Au Bénin, la plupart des journaux misent sur le sensationnel dont les citoyens sont friands. C’est dire donc que le contenu ou la pertinence des analyses d’un journal ne constituent pas le premier critère de choix de bon nombre des lecteurs. Le Béninois Libéré l’a bien compris. Il dénonce avec ou sans preuve des affaires politico-financières, dans un langage cru et terre à terre.

Dans le même temps, il s’est allié avec toutes les chapelles politiques. C’est pourquoi il lui est si souvent arrivé de tomber à bras raccourcis sur le pouvoir ou sur l’opposition et de les encenser ensuite comme si de rien n’était. Cette collusion malsaine était un secret de polichinelle. Ce journal ne l’a pas inventé, mais ses promoteurs, principalement Aboubakar Takou, son directeur général, a sûrement poussé le bouchon un peu trop loin.

Sources: http://www.ouvertures.net/benin-lautorite-de-regulation-suspend-definitivement-un-journal/#sthash.9hMYFfKS.dpuf

http://www.ouvertures.net/benin-lautorite-de-regulation-suspend-definitivement-un-journal/

BENIN : AboubaKar TAKOU, un racketteur à part entière ou entièrement à part ???
Tag(s) : #Actualités Béninoises
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