/image%2F1217104%2F20191118%2Fob_f52d34_benoit-illassa-et-patrice-talon.jpg)
IDRISS DEBY, LE PRESIDENT TCHADIEN, A-T-IL COMMANDITE LE MEURTRE DE SON FILS ?
En acceptant rapidement les condoléances du Gouvernement français, le régime tchadien s'est empressé aussitôt de dire que le meurtre du fils du Président de la république, Brahim Deby, ne serait pas politique. De N'Djamena, c'est assez osé de déjà savoir ce qui s'est réellement passé à Courbevoie.
Des voix non autorisées affirment quant à elles que, Idriss Deby, père du défunt, serait à l'origine de sa mort et que ce sont ses sbires qui auraient exécuté de sang froid son fils, s'appuyant sur des proches connaissant son emploi du temps. Une vieille histoire d'alcôve serait à l'origine de ce meurtre.
L'objet du délit serait la nommée, Hinda (photo), énième épouse du Président, accessoirement ex-maîtressse et ex-femme du fils, enlevée par le père qui convola ensuite sans hésitation avec sa jeune dulcinée, ayant appartenu à son probable dauphin Brahim. Vous saississez ? C'est un peu compliqué. Selon les mêmes sources, l'adultérine-incestueuse, Hinda, aurait pressé son mari d'en finir avec ce fils exilé qui continuait à proférer des menaces de représailles à son encontre.
La condamnation de ce jeune homme en 2006 pour possesion d'arme et de drogue n'est qu'une échappatoire disent les spécialistes, pour couvrir un crime d'honneur d'une famille détruite pour une histoire de pulsion hormonale non maîtrisée. C'est ainsi que le défunt avait accusé des tiers sur la drogue retrouvée à son domicile qui avait été perquisitionné...à la demande de son père parait-il et qui lui retira de facto, tous ses mandats. Il était conseiller technique à la Présidence de la république du Tchad avant son exil.
Le père et le fils ne se parlaient plus. Grands amateurs tous les deux de whisky et de nicotine, l'héritier naturel avait eu le tort d'aimer la femme que papa convoitait. Seule la mère du Président réussissait encore à calmer les pulsions meurtrières et les accès de colère de son affairiste de fils car, Brahim était selon des proches, le chouchou de sa grand-mère. Ceci empêcha d'ailleurs le Président de l'embastiller après lui avoir piqué Hinda, son ex-belle fille, devenue sa femme.
On en restera probablement là. Raison d'Etat oblige. Brahim Deby serait mort par asphyxie. Passez votre chemin. Fin. Fermez. Il suffit de se rendre sur le site officiel de la Présidence de la république tchadienne pour comprendre que la mort de ce fils rebelle n'interesse pas son père ou son entourage, ICI. Voir la galerie photos avec la première dame Hinda.
Rajout: il est 16h25 à Paris. De sources bien informées, l'enregistrement de la vidéo surveillance du parking de feu, Brahim Deby, a été recupéré par la police. La vidéo est actuellement analysée. Il y aurait deux agresseurs au moins...
PARALLAX.
En acceptant rapidement les condoléances du Gouvernement français, le régime tchadien s'est empressé aussitôt de dire que le meurtre du fils du Président de la république, Brahim Deby, ne serait pas politique. De N'Djamena, c'est assez osé de déjà savoir ce qui s'est réellement passé à Courbevoie.
Des voix non autorisées affirment quant à elles que, Idriss Deby, père du défunt, serait à l'origine de sa mort et que ce sont ses sbires qui auraient exécuté de sang froid son fils, s'appuyant sur des proches connaissant son emploi du temps. Une vieille histoire d'alcôve serait à l'origine de ce meurtre.
L'objet du délit serait la nommée, Hinda (photo), énième épouse du Président, accessoirement ex-maîtressse et ex-femme du fils, enlevée par le père qui convola ensuite sans hésitation avec sa jeune dulcinée, ayant appartenu à son probable dauphin Brahim. Vous saississez ? C'est un peu compliqué. Selon les mêmes sources, l'adultérine-incestueuse, Hinda, aurait pressé son mari d'en finir avec ce fils exilé qui continuait à proférer des menaces de représailles à son encontre.
La condamnation de ce jeune homme en 2006 pour possesion d'arme et de drogue n'est qu'une échappatoire disent les spécialistes, pour couvrir un crime d'honneur d'une famille détruite pour une histoire de pulsion hormonale non maîtrisée. C'est ainsi que le défunt avait accusé des tiers sur la drogue retrouvée à son domicile qui avait été perquisitionné...à la demande de son père parait-il et qui lui retira de facto, tous ses mandats. Il était conseiller technique à la Présidence de la république du Tchad avant son exil.
Le père et le fils ne se parlaient plus. Grands amateurs tous les deux de whisky et de nicotine, l'héritier naturel avait eu le tort d'aimer la femme que papa convoitait. Seule la mère du Président réussissait encore à calmer les pulsions meurtrières et les accès de colère de son affairiste de fils car, Brahim était selon des proches, le chouchou de sa grand-mère. Ceci empêcha d'ailleurs le Président de l'embastiller après lui avoir piqué Hinda, son ex-belle fille, devenue sa femme.
On en restera probablement là. Raison d'Etat oblige. Brahim Deby serait mort par asphyxie. Passez votre chemin. Fin. Fermez. Il suffit de se rendre sur le site officiel de la Présidence de la république tchadienne pour comprendre que la mort de ce fils rebelle n'interesse pas son père ou son entourage, ICI. Voir la galerie photos avec la première dame Hinda.
Rajout: il est 16h25 à Paris. De sources bien informées, l'enregistrement de la vidéo surveillance du parking de feu, Brahim Deby, a été recupéré par la police. La vidéo est actuellement analysée. Il y aurait deux agresseurs au moins...
PARALLAX.