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NDRL: Nous sommes désormais à mi-parcours de notre VICTOIRE en 2011.  Si "l'opposition", collectivement ou individuellement, va à la mangeoire du roi Boni 1er, nous les combattrons avec notre dernière énergie, comme nous le faisons depuis deux ans avec le roi Bonimenteur. Que cela soit dit !!!

 

Le roi Boni 1er est un Dieu omnipotent qui n'a nullement besoin d'apôtres. Nous avions prédit, en son temps, que son sacre ne serait qu'une nouvelle expérimentation de plus pour le malheur de nos populations. Oublié son catalogue de le "redoute" servi aux néophytes et autres cancres de la réalité politique béninoise.

 

Le G4, le G13 et les patriotes béninois doivent offrir une alternative crédible à nos populations en 2011. C'est un devoir !!! Restons unis, quoi qu'il en coûte !!!

 

LAISSONS LE ROI BONI 1er CONDUIRE SA BARQUE AU NAUFRAGE !!! Il se dit plus doué que Noé. Qu'il se demerde dans le merdier qu'il a créé avec ses charlatans !!!

 

G4, G13, Patriotes béninois, restons unis jusqu'à l'estocade finale de 2011. Ne participons pas à un Gouvernement kpayo pour ne pas être comptable des illusions du roi Boni 1er et sa Cour de nains politiques.

 

Alea jacta est !!!

 

Benoît ILLASSA 


La nouvelle tribune

 

  - - 5 mai 2008

Gouvernement d’ouverture : Pourquoi le G4, le G13 et les Forces clé toujours réticents
 

Ayant, semble-t-il compris le message des municipales du 20 avril dernier que sa formation politique a perdu, la mouvance mène depuis des missions de bons offices en direction du G4, du G13 et des Forces Clé afin qu’ils tirent un trait sur les dissensions avec le Chef de l’Etat et qu’ils participent à un gouvernement d’ouverture. Mais, ces derniers opposent une fin de non recevoir, évoquent que ‘’le chat échaudé craint l’eau froide’’ et estime que l’horizon 2011 est porteur d’espoir. L’opposition refuse pour le moment de participer à un gouvernement d’ouverture. Selon des sources proches de la mouvance et des formations G4, G13 et Forces clé, ce n’est pas demain la veille d’un accord entre les deux camps. Ces partis ou alliances de partis brandissent en effet plusieurs arguments dont quatre majeurs, pour ne pas céder à l’appel au banquet national.

 

Une collaboration non sécurisée et sans garantie

 

Le président Boni Yayi ne tiendrait pas parole. C’est le premier argument que le G4, le G13 et les Forces Clé brandissent. Selon les sources, ces politiciens ne sont plus prêts à se faire rouler dans la farine. Ils rappellent que par le passé, des accords avaient déjà existé entre eux, et que le chef de l’Etat aurait été le premier à rompre unilatéralement les amarres. Il s’agit précisément des accords signés à la veille du second tour de la présidentielle de mars 2006 avec l’Add, de Nicéphore Soglo, de Bruno Amoussou et de Idji Kolawolé. Pour le compte du G4 et dans une certaine mesure les Forces clé, il est question d’accord de législature ayant porté le poulain du président Yayi, Mathurin Nago au perchoir. A tout cela, s’ajoute un second argument de taille :

 

Le refus d’être comptable de sa gestion

 

Les partis de l’opposition estiment également qu’il n’est pas question qu’ils participent à un quelconque gouvernement d’ouverture parce qu’ils ne veulent pas être comptables de la gestion du Dr Boni Yayi, aujourd’hui tant décriée. Tous ces ‘’G’’, estiment que, participer à un gouvernement aux côtés du Dr Boni Yayi aujourd’hui, c’est donner caution aux comportements anti-démocratiques qu’ils ont eux-mêmes dénoncés le 12 mars dernier. Par conséquent, ils refusent d’aller au gouvernement. La troisième raison est relative à l’échéance de 2011.

 

L’horizon 2011

 

Certains membres du G4, du G13 et des Forces clé pensent qu’il serait suicidaire de composer aujourd’hui avec l’ancien président de la Banque ouest africaine de développement (Boad). Car, à l’analyse des résultats non encore officiels des municipales du 20 avril et du 1er mai dernier, l’opposition a une certaine chance d’arracher le pouvoir en mars 2011 et de faire le plein au niveau des législatives de la même année. Pour eux, il est donc beaucoup plus opportun d’unir dès maintenant leurs forces, de mieux s’organiser pour élaborer les stratégies adéquates pour renverser la tendance en 2011 et aller à la victoire. Le dernier argument de certains opposants qui ont été approchés, reste le rapport entre le président et ses ministres.

 

Yayi, trop paternaliste

 

Au vu de certaines expériences vécues par d’anciens ou actuels ministres du gouvernement, d’aucuns ne sont pas enclins à faire partie de l’exécutif sous l’ère du changement. Ils arguent de ce que le Chef serait trop paternaliste, qu’il ne laisserait pas assez de marge de manœuvre à ses collaborateurs pour conduire leurs ministères. Pour cette raison, ils ne veulent pas participer à un gouvernement de large ouverture comme on les y invite. Il préfèrent faire le gendarme derrière le gouvernement du changement afin qu’il respecte mieux les acquis démocratiques obtenus par des luttes de longue haleine. Cependant, ces arguments sont un fait pendant les réalités politiques en sont un autre. Malgré ces obstacles, le G4 (la vieille classe) le G13 (rebelles pour les uns, courageux pour d’autres) et les Forces clé, ne viendront-ils pas in fine à embrasser la main à eux tendue, au vu des mea culpa à peine voilées ?

 

Benoît Mètonou

Alain Assogba

 

Tag(s) : #Politique Béninoise
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